Quel rapport entre les 2 ? Et bien je voulais m’entraîner en piqué-libre, mais je ne suis pas fan des « pièces d’étude »… J’ai donc choisi ce petit modèle, très facile à faire, sur lequel je pouvais m’entraîner. Mais on peut très bien utiliser des tissus un peu rigides, sans broderie : s’ils ont assez de tenue, la doublure n’est pas nécessaire.
Un petit tuto porte-monnaie, cela vous intéresse ?
C’est tout simple, il faut :
- du tissu (45 cm sur 20 cm maxi si un seul, ou 4 carrés d’environ 15 cm si plusieurs),
- une fermeture éclair non séparable de 10 cm,
- du fil assorti et un gabarit (triangle équilatéral de 10 cm de côté).
- Si on veut s’entraîner en broderie machine, on ajoute du molleton et de la doublure.
- préparer 4 triangles de 10 cm de côté et ajouter une marge de couture d’un petit centimètre,
- assembler la fermeture éclair entre 2 triangles en repliant les côtés,
- piquer sur un des triangles assemblés à la fermeture les triangles restants,
- ouvrir la fermeture et sur l’envers piquer les 3 triangles pour former une pyramide.
- Il ne reste qu’à épointer puis retourner. Facile, non ?
En piqué-libre, je voulais travailler mes courbes : j’ai choisi des arabesques et des loopings. J’ai travaillé sur un seul morceau de tissu car les petites pièces sont trop dures à manipuler en broderie machine…
Ma bible, c’est bien sûr le livre de Dijanne Cevaal (Le piqué-libre, 72 blocs et Le piqué-libre, 72 nouveaux blocs).
Et voilà, mes arrondis sont plus arrondis et j’ai deux nouveaux porte-monnaie : l’un sera sans doute offert, l’autre ira dans mon sac de couture, j’avais choisi un tissu coordonné exprès !